Lorsque le soleil se lève, Peignant des lueurs d’or, Les ombres se dressent, s’effacent, Pour laisser place à la lumière.

Les collines, douces et fières, S’étendent à perte de vue, Telles des vagues d’un océan d’herbe, Où la nature est reine de tous.

Frissons de l’aube se posent, Sur les cœurs endormis; Chaque jour se réinvente, Dans le souffle de cette terre.

  • Gustave Flaubert